Désert Numérique




ATELIER LES ÉCHARENNES

Le projet « Les Écharennes »
Un projet d'éducation artistique destiné aux élèves de la classe unique de Saint-Nazaire-le-Désert, constitué de 4 ateliers d'initiation et de sensibilisation aux pratiques numériques à l'attention des élèves et de leur institutrice, Alice Dubief, pendant l'année scolaire 2013-2014, découpés comme ceci:

Atelier 1: « Le Chant des Écharennes » avec Emmanuel Ferrand, du 28 juin au 5 juillet 2013
Atelier 2: « Expériences sonores de la terre et de l'eau » avec Cécile Beau, du 4 au 8 novembre 2013
Atelier 3: « Peut-on manger les Écharennes ? » avec Élodie Ravion, du 22 au 25 avril 2014
Atelier 4: « Télécharennes, la télé des Écharennes » avec Jérôme Fino, du 30 juin au 4 juillet 2014, présenté à l'occasion du festival « Désert Numérique #5 ».


Crédit photo: Emmanuel Ferrand

Il s'agit d'une proposition d'Emmanuel Ferrand, qui a conduit le premier atelier en juin-juillet 2013, présenté lors de l'ouverture du festival « Désert Numérique #4 ».

Ce projet est soutenu par la Municipalité et l'école de Saint-Nazaire-le-Désert depuis 2010, La Fondation de France en 2013 et en 2014, puis par la DRAC Rhône-Alpes et le CRDP de l'académie de Grenoble dès 2014. Il présente la souplesse du « work in progress » et comporte une approche artistique mixte d'un paysage remarquable: ici, la paroi rocheuse des Écharennes, qui surplombe le village de Saint-Nazaire-le-Désert, où vivent les enfants de la classe unique.


Crédit photo: Fabrice Blache

Intentions:
La proposition consiste en différentes lectures et interprétations de cette falaise, sur le plan géologique bien sûr, mais aussi sonore et musical, mythologique, mathématique, et.... culinaire, le tout étant prétexte à des expérimentations scientifiques et poétiques, où les enfants mettent "la main à la pâte".

Encadrés par des artistes (sonores, visuels), ces ateliers familiarisent les enfants aux pratiques artistiques numériques, les confrontent à la réalisation d’un objet artistique final, les initient à la géologie d’une manière créative et sensible, et enfin les invitent à présenter au public le fruit de leur expérience collective.

Création vidéo:
Plusieurs artistes sont invités à intervenir auprès des enfants pendant une semaine, et les étapes des différents ateliers sont enregistrées et archivées sur support vidéo par l'artiste vidéaste Sarah Brown, dont l’œil et la caméra permettent de conserver en mémoire et de restituer ce temps commun, et de lier entre elles les différentes étapes du projet sous la forme d'un travail vidéo global. Il s'agit ici de croiser plusieurs pratiques esthétiques et différents regards: le sien, ceux des enfants, et celui des intervenants invités.

Dans les différentes propositions autour des Écharennes, les notions de point de vue et d'échelles spatiales et temporelles sont centrales. Elle déterminent aussi la forme des captations des temps de travail qui tenteront de les refléter. Pour cela, les enfants apprendront à se servir de caméras et seront sollicités pour filmer les différents moments, tout en abordant les notions de cadrage, de plan, et de lumière.

La notion d'archivage entre aussi en résonance avec les couches géologiques dans leur forme mémorielle. Les pratiques de montage et de mixage vidéo intègrent des couches visuelles qui, assemblées, forment une restitution sensible de ces temps de création. Là encore, les enfants interviendront sur le montage en le liant aux intentions fixées au préalable.

Restitution de l'Atelier:
Lors de la restitution publique du résultat de chaque atelier, qui se déroule le dernier jour de l'atelier, le public (parents et familles, amis et voisins, habitants de la vallée (de la Roanne), festivaliers...) sont invités à découvrir le travail réalisé, qui peut prendre plusieurs formes: une vidéo, différentes expérimentations, un parcours sonore, un concert, un spectacle, etc.

« Inter-ateliers »:
Chaque atelier est précédé d'un « inter-atelier »: une discussion à distance (via un logiciel de visioconférence) entre les élèves et l'institutrice au village d'un côté, et les intervenants et organisateurs de l'autre, afin de préparer l'atelier, se présenter, et donner aux enfants quelques pistes de réflexion quant au thème qui sera abordé en atelier.

Archivage et suivi du projet:
Chaque étape de ce projet est archivée sous forme de prises de notes, photos, enregistrements sonores et vidéos, et fait l'objet d'un bilan détaillé. Dans cet objectif, une personne de l'équipe de "Désert Numérique" suit l'évolution de chaque atelier et se charge de cet archivage.

Profil de l'artiste vidéaste:
Sarah Brown est née en 1973 à Rosny-sous-Bois, et vit et travaille à Paris. Elle est plasticienne et performeuse (live vidéo expérimental) depuis 1996 au sein du collectif « l'Oeil Marron » et du groupe d'improvisation « LSD Room », et anime de nombreux ateliers d'« imagerie musicale » pour découvrir la relation intime du son et de l'image en mouvement, accueillant enfants et adultes. Elle a également réalisé plusieurs reportages sur « Désert Numérique » (en 2012 et 2013). Elle est chargée de l'archivage en vidéo des 4 Ateliers du projet « Les Écharennes ».

« Le Chant des Écharennes »
Atelier 1 avec Emmanuel Ferrand
Du 28 juin au 5 juillet 2013

Avec Emmanuel Ferrand, les 16 élèves de la classe unique de l'école de Saint-Nazaire-le-Désert, Alice Dubief l'institutrice, Muriel Polny son assistante, Ana Ruggeri une géologue invitée, la vidéaste Sarah Brown et Michèle Lision, responsable du suivi de l'atelier pour Désert Numérique.


Crédit photo: Emmanuel Ferrand

Pendant 4 journées, les enfants ont été invités par Emmanuel Ferrand à manipuler des objets sonores et visuels, à dessiner les Écharennes (afin de réaliser une transcription visuelle de la paroi rocheuse) pour en interpréter les formes (via le logiciel « Praat » de transcription sonore).
Puis une chorale a été créée, visant à « chanter les Écharennes », c'est-à-dire à redessiner les formes des Écharennes par le chant (à l'aide d'un autre logiciel, « Frequency Analyser », qui permet la transcription sonore d'une image).
Enfin, les enfants, par groupes, ont réalisé une écriture collective de récits mythologiques sur l'origine de cette paroi, et ont illustré ces récits par des dessins.


Crédit photo: xmx

Restitution publique:
Le vendredi 5 juillet 2013 s'est déroulée la restitution publique de ce premier atelier, à l'occasion de l'ouverture du festival « Désert Numérique #4 ». Une création collective, sous la forme de dessins, récits et chants, a été présentée par les enfants au public, rassemblé en nombre dans l'Église du village.
Fréquentation du public: 85 personnes.


Crédit photo: xmx

Cette vidéo, réalisée par les élèves et leur institutrice, permet de retracer les différentes étapes de l'atelier:


Puis Sarah Brown a réalisé un court reportage sur l'atelier, avec notamment des extraits de la restitution publique:


Profil des intervenants :
Emmanuel Ferrand est artiste, chercheur, mathématicien, Maître de conférences à l'Université Pierre et Marie Curie (UPMC, Paris VI). Membre du comité d'organisation "Dorkbot Paris" et de l'association du collectif d'artistes "La Générale".

Ana Ruggeri est géologue de formation, et habite Aucelon, village voisin de Saint-Nazaire-le-Désert, dans la Drôme. Elle est intervenue dans le cadre de cet Atelier auprès d'Emmanuel Ferrand, pour apporter notamment quelques notions de géologie aux enfants de la classe unique.


Crédit photo: Emmanuel Ferrand

=> Voir les photos légendées de l'Atelier en cliquant ici.


« Expériences sonores de la terre et de l'eau »
Atelier 2 avec Cécile Beau
Du 4 au 8 novembre 2013

Avec: l'artiste Cécile Beau et la vidéaste Sarah Brown, les 18 élèves de la classe unique de Saint-Nazaire-le-Désert, Alice Dubief leur institutrice, Muriel Polny son assistante, et Karen Dermineur, responsable du suivi de l'Atelier pour Désert Numérique.


Crédit photo: KRN

Intentions:
Cécile Beau a proposé de centrer l'attention des élèves sur l'activité terrestre et ses mouvements géologiques, d'observer ce qu'engendre le fait de passer par une échelle beaucoup plus réduite, tout en proposant des traductions plastiques à ces phénomènes naturels.

De l'onde sismique semblable à l'onde sonore, de l'échelle de la Terre à celle de nos voix, comment les ondes, selon leur puissance, parcourent-elles différentes matières? De la déformation des croûtes géologiques via l'observation de la paroi rocheuse des Écharennes, à la création de « maquettes sismiques », les élèves pourront appréhender de manière sensible ces forces invisibles.


Crédit photo: KRN

Inter-atelier 1: (le 17 octobre 2013)
L'enjeu de cette première rencontre à distance s'est situé dans la présentation des différents protagonistes, et la préparation de l'Atelier, avec, par exemple le fait de reconnaître certains sons et images qui seront ensuite étudiés en détails pendant l'Atelier (ondes sismiques, tremblement de terre, etc.)

=> L'enregistrement sonore de cet inter-atelier est disponible en cliquant ici.


Crédit photo: KRN

Atelier 2 « Expériences sonores de la terre et de l'eau »:
L'Atelier a consisté à: préparer et réaliser une série d'expériences « scientifiques » autour du son, de la géologie, de la Terre et de l'eau; réaliser collectivement les "protocoles" lié à chaque expérience réalisée (liste de matériaux utilisés, réactions observées, analyse et résultats); et concevoir et réaliser collectivement le tournage d'un reportage vidéo.

Cette vidéo, dirigée et montée par Sarah Brown, est visible ci-dessous:



Restitution publique : (le 8 novembre 2013)
Les enfants ont présenté au public venu nombreux à l'école ce soir-là, dans un premier temps le reportage vidéo, puis ils ont "rejoué" seuls différentes expériences scientifiques en expliquant chaque processus étudié.
Fréquentation du public: 52 personnes.

La restitution de cet Atelier, filmée par Sarah Brown, est visible ci-dessous:



=> Voir les photos légendées de l'Atelier en cliquant ici.

Profil de l'artiste invitée:
Cécile Beau s'intéresse essentiellement à la notion de paysage comme appropriation mentale d'un lieu, mais aussi comme outil pour atteindre un au-delà du visible. Ses pièces prennent souvent la forme de sculptures sonores, de microcosmes recomposés à partir de fragments de paysages. Décontextualisés et déconstruits, des éléments organiques, minéraux, voir spatiaux, sont ensuite ré-agencés pour former de nouveaux environnements autonomes. La présence importante du son dans le travail de Cécile Beau engendre de véritables dispositifs immersifs, des territoires intermédiaires. Ainsi, le spectateur attentif verra apparaître dans l'apparente banalité de ces ambiances familières des artifices, des absences ou espaces suspendus.
Ses oeuvres hybrides et énigmatiques génèrent des atmosphères fantomatiques aux perturbations étranges et décalées, des environnements fictionnels.
Elle a participé à des résidences dans les villes de Caen, Bourges, Berlin, Bruxelles... Son travail a été présenté dans des expositions personnelles : au Palais de Tokyo, à l'École des Beaux-Arts de Chateauroux, à l'Espace d'art contemporain Rurart, à Poitiers BBB, à Toulouse, ainsi que dans de nombreux festivals et expositions collectives.

Liens à propos de Cécile Beau:
Voir son site Web
Voir son portfolio
Voir son CV


« Peut-on manger les Écharennes ? »
Atelier 3 avec Élodie Ravion
Du 22 au 25 avril 2014

L'Atelier 3 a été mené par Élodie Ravion, avec l'intervention de la vidéaste Sarah Brown, à l'attention des 18 élèves de la classe unique de Saint-Nazaire-le-Désert, en présence d'Alice Dubief leur institutrice et de Muriel Polny son assistante, du 22 au 25 avril 2014.

La vidéo réalisée par Sarah Brown et les enfants: "Les Secrets des Écharennes"



Ainsi que la vidéo de la restitution réalisée par Sarah Brown vendredi 25 avril:



Intentions:
Élodie Ravion propose, pour ce troisième volet du projet « Les Écharennes », de retenir l'attention des élèves sur le lien naturel et esthétique qui peut exister entre la formation géologique des Écharennes et l'évolution du vivant, tout en proposant des traductions ludiques artistiques et comestibles à base d'expérimentations végétales et minérales.

De la graine au fossile, de la création de la vie aux strates marno-calcaires qui forment les Écharennes, comment l'eau et les minéraux présents dans les aliments circulent-ils et se transforment-ils? De la germination à la confection de « maquettes comestibles », les élèves pourront ainsi appréhender de manière concrète le lien entre le végétal et le minéral.

Inter-Atelier n°2:
Date: Jeudi 10 avril 2014, avec tous les intervenants, via un logiciel de discussion à distance. Les enfants ont été amenés à découvrir Élodie Ravion et son travail, et à participer à plusieurs exercices audiovisuels afin d'aborder le thème central de l'atelier.
=> L'enregistrement sonore de cet inter-atelier est disponible en cliquant ici.

Atelier 3: « Peut-on manger les Écharennes ? »
Entre observation de phénomènes géologiques, manipulation, expérimentation scientifique, et sensibilisation aux approches artistiques, les élèves ont été amenés à interpréter les différents phénomènes explorés.

L'Atelier a été jalonné d'écoutes et de lectures de contes en lien avec les différents phénomènes observés, mais aussi d'expériences sensibles réalisées avec différentes matières comestibles, autour notamment des graines et de la germination, de la déshydratation et de la conservation, de la lacto-fermentation, etc.

Et toujours pour accompagner cette troisième étape, l'oeil et la caméra de Sarah Brown ont proposé aux enfants de réfléchir à la réalisation d'une forme vidéo, où chacun a son rôle et sa place.

Restitution de l'Atelier 3:
La semaine s'est clôturée par une présentation publique et des discutions, le vendredi 25 avril 2014 à 17h, autour des divers rapprochements et constructions mis en place, à l'attention du public (parents d'élèves, amis et habitants du village).
Chaque enfant, ou groupe d'enfants, a pu présenter le travail spécifique réalisé pendant la semaine et l'ensemble des personnes présentes ont pu partager et déguster la maquette comestible réalisée.
Fréquentation du public: 50 personnes.


Crédit photo: KRN

Profil de l'intervenante invitée:
Élodie Ravion obtient en 2013 un CAP en cuisine traditionnelle, qui vient nourrir sa recherche et lier entre elles ses diverses expériences et expérimentations.

« Manger est un acte fort et symbolique ». À partir de cette action vitale et quotidienne, Élodie mène une réflexion en étoile afin de relier via le végétal: politique, agriculture, culture, bien-être, et esthétique.

En 2009, elle monte « La cantine des cocotes - Cuisine et expérimentations végétales » des traiteurs terriens, de la terre à l'assiette. Elle s'intéresse aux végétaux, à leurs couleurs plastiques et organiques, pour les mettre en scène à table ou en dehors, dans une idée gourmande et généreuse. Il s'agit de se réapproprier sa fourchette en se familiarisant avec les techniques de conservation ancestrales, puis de les mettre en pratique (fabrication de four solaire, lacto-fermentation, etc.). En parallèle, elle a toujours privilégié la transmission via des journées d'ateliers et des préparations collectives. Elle a mis en place un atelier jeune public visant à mieux comprendre les vertus des aliments et les besoins du corps humain, une exposition sur la transparence et la lumière des racines; et continue son exploration culinaire et végétale en nourrissant toujours l'idée que « manger mieux, c'est essentiel ».


« Télécharennes, la télé des Écharennes »
Atelier 4 avec Jérôme Fino
Du 30 juin au 4 juillet 2014

L'Atelier 4 a été mené par Jérôme Fino, avec l'intervention de la vidéaste Sarah Brown, à l'attention des 19 élèves de la classe unique de Saint-Nazaire-le-Désert, en présence d'Alice Dubief leur institutrice, et Muriel Polny son assistante, ainsi que Karen Dermineur de l'équipe de Désert Numérique, du 30 juin au 4 juillet 2014.

Dans ce dernier volet, Jérôme Fino a proposé aux enfants de repenser et rediffuser à travers des dispositifs sonores réalisés in situ (des "soundsystems") les sons enregistrés et les vidéos réalisées lors des ateliers précédents. Afin que de manière insidieuse, ces dispositifs détournent légèrement le mobilier de l’école et ses alentours...

« Télécharennes, la télé des Écharennes »
Un reportage réalisé par Sarah Brown et les enfants:


Et la restitution de l'atelier:


Ainsi que le 4e objet sonore créé par les élèves, avec l'aide des artistes, sous la forme d'une "composition musicale collective":


Inter-atelier n°3: jeudi 26 juin 2014 à 11h
Les enfants ont eu l'opportunité de « rencontrer » à distance l'intervenant invité, de retrouver l'artiste vidéaste et les organisateurs, et de préparer l'atelier tout en découvrant des œuvres sonores et vidéos liées au thème abordé lors de la semaine.
>> Écouter l'enregistrement sonore de cette discussion avec les enfants ici!

« Télécharennes, la télé des Écharennes »:
4 objets sonores ont été créés en groupe, et les sons diffusés ont été détournés par les enfants eux-mêmes, qui ont réalisé leurs propres compositions sonores. Puis, avec Sarah Brown, ils ont réalisé une vidéo, une émission télé construite à la manière d’un reportage, où la fiction a toute sa place. Cette vidéo, intitulée « Télécharennes, la télé des Écharennes », a été construite collectivement à partir des différents éléments réalisés pendant la semaine : objets et enregistrements sonores, dessins, schémas, etc.

Détails de l'Atelier 4:
1. Présentation d’un panorama de la création artistique utilisant le support sonore dans l’espace public (vidéos et photos)

Crédit photo: Sarah Brown
2. Discussions et repérages avec les enfants pour trouver les emplacements des haut-parleurs et des objets sonores à réaliser

Crédit photo: Sarah Brown
3. Réalisation de plusieurs objets sonores, qui seront installés dans différents lieux à travers le village

Crédit photo: Sarah Brown
4. Diffusion sonore – Restitution globale

Crédit photo: Sarah Brown

Restitution publique de l'Atelier 4:
Ce dernier volet s’est refermé sur la présentation du travail réalisé à un public venu en nombre, à l’occasion de l’ouverture du festival « Désert Numérique #5 » (le 4 juillet 2014). L’émission télé a été regardée par le public, qui a ensuite découvert, disséminés aux quatre coins du village, les différents objets sonores créés, ainsi que les vidéos réalisées lors des ateliers précédents, en présence des artistes. Fréquentation du public: 110 personnes.

Profil des intervenants:
Jérôme Fino est né en 1981, et vit et travaille un peu partout. Un vidéaste dont les activités se déploient sur différents terrains artistiques (archives, documentaires, ateliers, organisation de concerts et d'expositions), tout en gardant un regard ouvert sur les phénomènes sonores produits par des contextes géographiques et sociaux. Agissant tel un index, il signale, désigne des lieux, des gens, à travers desquels la question de l’expérimentation reste primordiale. Des expérimentations, pour y trouver des espaces de liberté.http://vimeo.com/jrm
http://www.liberation.fr/culture/2013/10/23/d-amour-et-d-haut-parleurs_941769


Crédit photo: Sarah Brown